Une série inspirée de faits réels et de l'histoire d'amour au cœur des événements. WeWork est une start-up de bureaux partagés. En moins de dix ans, elle devient une marque mondiale d'une valeur de 47 milliards de dollars, avant de perdre 40 milliards en deux semaines. Que s'est-il é ?
Adaptée du roman de Bonnie Garmus, Lewis Pullman, scientifique réputé aussi intelligent qu’exécrable, qui verra en elle plus qu’une femme, mais une égale. Une romance se développe malgré la réticence initiale de la concernée. Mais rapidement, on se rend compte qu’une tragédie va survenir, et Elizabeth va devoir recourir à toute sa débrouillardise pour s’en sortir. Quand elle est repérée par un producteur pour animer une émission de cuisine, la télévision n’était pas prête pour son arrivée.
Créée par Lee Eisenberg (WeCrashed également sur AppleTV+), cette série en huit épisodes vous plongera dans l’Amérique des années 50, où permanentes et ségrégation battaient leur plein et sera disponible dès demain.
Pour les personnes qui connaissent le livre, vous serez ravies de voir à quel point l’adaptation est fidèle sauf peut-être sur un point, on ne voit pas assez d’aviron, mais bon, c’est probablement un autre débat. Le rendu réchauffe tout autant le cœur. Le petite Mad est toujours aussi maligne et précoce, tandis que sa mère déborde d’inspiration sous les traits de Brie Larson (qui n’était pas retournée à la télévision depuis un bout de temps). Les explications chimiques semblent faciles à comprendre même si aucun des mots ne fait sens pour une oreille non avertie. On retiendra tout de même que la cuisine n’est faite que d’expériences de chimie. Son chemin de vie à Elizabeth n’est pas facile, mère célibataire sans être mariée, scientifique dans un monde d’hommes, jolie mais qui veut être reconnue pour son travail… des oppositions qui font qu’on a envie de la soutenir.
Commentaires (5)
Dans une très grande partie du 1er épisode,le personnage d'Adam Neumann m'irritait fort.Ah ouais,il me saoulait;j'me disais que j'voulais même laisser le show.Grâce à Dieu ce protagoniste évolue,s'étend,mais:bête de manipulateur hein quand même!Mais en parallèle,observateur d'êtres humains qui vise souvent juste.L'oeuvre développe alors la synergie entre Rebekah et son courtisan,et me captive par ailleurs.J'aime la musique de Christopher Nicholas Bangs,quand elle se fait touchante et fragile.Les cicatrices,le caractère du personnage joué par Anne Hathaway,qui livre une prestation charismatique,emportante,m'attache à elle.Néanmoins,y'a un étirement dans une phase précise de l'histoire de l'individu joué par Jared Leto,ça me semblait un peu longuet cette partie.J'me demande aussi comment le boug a pu aller aussi loin dans son ascension;si c'était pas tiré d'une histoire vraie,j'y aurais pas cru.(3,50/5)
Stop après 2 épisodes Leto trop inable et scénario déjà vu, dropout effectivement meilleur dans le genre
Un air de déjà vu avec un Jared Leto qui ne surjoue pas, il est est un peu comme ça dans la vie. Seul truc qui change est l'absence de barbe. Sinon, toujours le même schéma, idée, 1ère affaire, 1er associé, fête, cocaïne, 1er échec, conseil istration , éviction.. Ce serait intéressant qu'un jour de pouvoir voir la vie des salariés après ça
Pas d'accord avec le commentaire précédent, c'est une très bonne mini-série servit par un casting assez exceptionnel et très impliqué. J'ai é un bon moment tout comme devant Dropout d'ailleurs ^^
Série très moyenne, du mal à tenir 8 épisodes. Dans le même genre et récente, je conseille « the dropout ».